Ciao les Noobs :)

Me fait un petit mur du prisonnier ^^ (temps sans jouer)

II

moi je tien a vouloire un 10contre 1 qui revien vite meme tres vite aller stp tu nous manque deja et je suis encore trop triste fait pas le con reste avec les drogues je sais tu peut avoire honte mais c'est bon la honte

Deuxième jour :

Je t'écris à toi mon journal car mes amis m'ont déserté, ils sont retournés hypnotisés devant leurs écrans. Je n'existe plus... etrange sensation, c'est comme être cet Etranger qu'a décrit si bien Camus : je suis en dehors de la communauté...
Mes mains tremblent, tandis que je tiens ce stylo. Est ce cela être drogué ? Le début de la désintoxication ?
Ahhhh j'entends les voix des enfants, non que dis jes des gnomes me narguer sous les fenêtres de mon appartement. Gnagngnagna.....lachent 'ils en boucle.
Je crois que je deviens fou. On dit que le jeu rend fou, mais NON ! C'est l'inverse : ARRETER.
STOP : tu es un humain , pas une elfe des bois avec des feuilles dans les cheveux.
Mon pet - chat me regarde bizarrement depuis hier. A moins que cela soit moi qui évalue en lui la nourriture possible ou les lanières de cuir récupérables.

Je dois tenir allez !!! Je le peux ...

Oh mon dieu, j'entends dehors les cris des orques...Ils arrivent. Vite mon épée !!!

lol ael^^


Moi je te reconnais bien la,fidel a toi meme tu n'est pas fou^^

continu dans cette voie tu va bientot revenir pour mes Po mouhahaahahahahah

Lol, génial le journal
need la suite

4ème jour :

Journal, Journal .. tu me reconnais ? C'est moi qui ai tenu ton instrument entre mes mains si longtemps. Allez ouvres toi en grand que je dépose ma prose en ton sein. (<= métaphore dû à l'abus d'alcool )
Aujourd'hui j'ai subi un assaut en règle de Hors d'eux : par H2 , je parle de tout ce qui est à l'extérieur de mon appart : La vie réelle c'est le mal.
J'étais tranquillement en train de siroter mon 23ème Ti-punch de la journée -d 'où mes hallucinations vis à vis de mon chat qui me parlait avé un accent Kaminien - Marli-Gomont-, ce qui fout les boules , je vous jure- Quand tout à coup : "Ding Dong !"

La vache c'est quoi ce truc ? - La panique , genre j'ai perdu l'aggro-
Pensant à un assaut en règles, je saute dans ma cuisine et m'arme de ma fidèle épée vengeresse - la pelle à tarte - et mon bouclier béni - la passoire à nouilles-. Hop, je me précipites devant la porte. Puis là éclair de génie : " Faut respé , mon gars faut respé. La spé bouclier c'est has been du sud ouest" . Ok . Retour cuisine -Ti-punch - Respé Ambi - hop deuxième arme,- spatule à crèpes -...
Armé de mes deux redoutables armes je me dirige discrètement vers la porte d'entrée. - put, t'es trop con , un elfe qui bouge c'est pas fufu !! - et j'attends le second coup pour frapper.
Et là rien ...Pas de second coup , ni de ding dong bis.
Rrien de rien... Pas d'effet de surprise. Nada...."Keskispass ?"me murmure le chat ?
J'ouvre la porte avec ma spatule dans le dos mais ma pelle à tarte prête au premier coup.. - Je savais que j'aurais du garder mon bouclier pour encaisser, je le savais !!!-
Un coup à se faire fufuter ça. Saleté de drood-voleur de mes H2. Personne.

Gnarf, je descends -courageux- les marches de mon appart et me retrouve bientôt devant ma Boîte aux lettres - Non pas celle de l'auberge !!-. Check vite fait avec zyeutage dans mon dos du backstab..Arf un avis de recommandé... C'est la mort...

Ah c'est un piège . Ils veulent ma peau en terrain découvert. Je reconnais bien , là le plan sournois et vil du hordeux mesquin -que d'adjectifs ^^-.
Et bien je ne renoncerais pas !!! Tel un paladin j'affronterais mon destin . Le tank meurt et ne se rend pas !!!
Enfin on verra cela demain , hein ? Pasque là, suis plus trop en état de quoi que ce soit.

Un autre soucis m'attendait dans mon appart : Plus de rhum...
Plus de rhum.Plus de WoW. Que reste t'il de mes amours ?
Amoniaque ? J'attaque le sniffage de canard WC. C'est décidé : Tout est bon pour ne pas craquer.

Euh , un doute effleur emon esprit ? - Ce qu'il en reste-
L'instance " Bureau de Poste " c'est héroïque ?

mais lol dans un mois je suis sur d'avoir mes Po a ce rythme

Mais MDR

Ca m'as trop fait rire, voila ce qui risque de m'arriver si je stop wow

Le coup de la pelle a tarte c'est trop moi quand je suis toute seule a la maison, style quand chime et ses parents sont partis en vacances^^

Ah wow quand tu nous tiens.....


Need lire la suite, j'adore

oui un gros need sur le /g crack et revien vite.

sinon quand tu vera un chat tu sera que je ne suis pas loing de toi en fufu tapi deriere un poto ou en haut d'un imeuble avec ma vision de bete. et oui je te gette bientot tu aurra un coup de vise et la rage de mon pet dans le dos donc le seul moyen de ten sortire c'est de revenir dans notre beau monde WOW.
je le sen revien du cote obscure de la force.

ps: un petit fofo juste pour toi
http://forum.doctissimo.fr/psychologie/cyberdependance/comment-vivre-wow-sujet_79_1.htm

9ème jour:

Journal, mon esprit se fragmente et la réalité s'étiole... Je ne sais ce qui est, qui fut ou qui sera. Je suis bien au delà de la folie et mes personnalités se mélangent pour ne devenir qu'une. Où est la vérité ? Car je me mets à écrire mon passé d'Ael comme si elle était moi. Oui, elle est moi...Comme je suis une partie d'elle.La vie est un songe.

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Le chevalier pestait...
"Non, tu t'y prends mal.. Tiens ta garde haute et prépare toi, toujours, à parer. Sinon tu y laisseras ta vie."
Le jeune fille souriait.
"Mais je n'ai aucune envie de combattre. Tant que vous êtes à mes côtés je ne crains rien"
"Aelinea...", dit gravement le chevalier,
"Je dois repartir aux frontières bientôt. Je ne sais jamais ce qu'il peut se passer là bas.Le peu que je peux t'enseigner, sera toujours un petit plus qui pourra te sauver la vie plus tard...Alors écoutes moi et obéis..."

Une moue boudeuse répondit à cette révélation. Du haut de son adolescence, la jeune elfe se présentait déjà comme une jeune femme. Elle ne ressemblait plus beaucoup à la petite fille découverte quelques années plus tôt. Son éducation avait été pris en charge par son sauveur, Isaer. Mais quelque chose dans son regard, un petit rien trahissait le trouble qui l'envahissait. Elle ne voulait pas son départ, comme à chaque fois.
Certes les instructeurs de combat prendraient soin d'elle. Mais plus le temps passait, moins elle acceptait cette situation.

Le combat repris de plus belle, mais cette fois ci...Elle se donnait avec ardeur, rage...
"Ne fais pas de gestes aussi amples, tu te découvres. Agis toujours de manière réfléchie, le combat est une science. Si tu réagis avec tes sentiments, tu périras..."
Toujours le même sermon...Mais lancé avec un sourire...Une telle joie de vivre débordait de lui...Et la jeune fille se laissait toujours entraîner dans ces duels sans fin qu'ils soient réels où joutes verbales.

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Une simple Rose sur une tombe dépouillée.
Un simple nom sur le marbre : Isaer
La jeune femme n'avait pas oublié. Elle n'oublierait jamais. A genoux devant la pierre, elle songeait aux moments passés avec son chevalier, son précepteur.
"Pourquoi m'as tu abandonné ?"
"Mes parents, mon village, puis toi..."
"Pourquoi ?"
Elle ne pleurait pas. Elle ne voulait plus pleurer. Elle se souvenait de ses conseils : "Si tu veux survivre, agis avec rationalité, ne te laisse jamais emporter par tes sentiments"
Tous les mois, elle revenait périodiquement sur cette tombe, comme un rituel.
"J'ai décidé d'être guerrière."
"J'honorerais ton nom et ceux qui ont disparus avec toi"
"Puisses tu être fier de moi là où tu es."
Sa voie était toute tracée... Elle allait partir faire ses preuves dans peu de temps...
Une autre page de son histoire devait être tournée. Et pourtant, elle avait si mal...

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Le sang lui coulait sur le visage. Son Sang. Un coup malencontreux d'un orque. Son casque l'avait sauvé. Il en avait réchappé. Mais pas tous.
C'était le huitième assaut. Il avait vu nombre des ses amis périr pour défendre ce fort frontalier. Il avait vu des actes de bravoure extrêmes comme des actes innommables.
La guerre était un barbarie. Il le savait, mais il défendait une cause, un pays qui méritait de vivre, de survivre...
Il rallia autour de lui les hommes survivants.
Aucun renfort n'était venu...Les messagers avaient dû être interceptés.
Le neuvième Assaut arrivait. La porte allait tomber...

Isaer rajusta sa visière et marmonna :
"Désolé Aelinea, Mais cette fois ci je ne reviendrais pas..."

Quand celle ci tomba finalement dans un lourd craquement. On n'entendit pas les cris des assaillants, mais uniquement un credo lancé en choeur :

"Pour l'Alliance ! Que l'ennemi se souvienne de ce jour : la victoire, où la mort ! ".

La mêlée s'engagea. Elle était à sens unique, tous le savait. Mais aucun ne recula...
Car tel était leur courage, un courage qui serait chanté à jamais...

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Elle se réveilla en sursaut. Pas un bruit dans l'auberge endormie. Cela lui arrivait assez souvent. Elle revoyait le visage d'Isaer, elle imaginait sans cesse ses derniers instants.
Elle ne pouvait s'empêcher que tout aurait pu être différent, si différent...
Si seulement, elle n'avait pas été si fière...Elle aurait osé lui avouer ses sentiments naissants.
Oui, elle l'avait aimé tout d'abord comme un père de remplacement, puis avec le temps différemment...Amour d'Adolescence ? où quelque chose de plus profond qui ne voulait disparaître ?

L'amour est un songe qu'il est difficile de capturer.

Mais depuis quelques mois, elle se sentait différente...Quelqu'un avait remplacé peu à peu le paladin dans son coeur. Et elle n'osait pas...Fierté ou timidité ?
Elle savait que le futur était incertain.Demain avait lieu le départ vers le front.
Elle pouvait perdre de nouveau ce à quoi elle s'attachait.
En quelques minutes sa décision fut prise...Elle se leva, enfila rapidement une tunique avant de sortir.
Elle ne fit que quelques mètres pour frapper à la chambre de son ami prêtre.
Des pas trainants, un réveil difficile sans doute...
Quand la porte s'ouvrit, elle ne savait déjà plus que dire où quoi faire...
Il était là, a peine habillé, a peine éveillé...mais il lui souriait.
"Bonjour,je...je..."
Lorsque que son regard croisa le sien, qu'elle plongea dans les abysses de ses yeux, elle sût que toute phrase était inutile. Plus rien ne comptait.
Elle entra et referma la porte derrière elle.

L'amour est un songe. Et elle avait bien décidé de le capturer.

tout comme dans le miroire la forme et le reflet se regarde
vous n'ete pas la forme mais le reflet est vous.

10ème jour:

Les premiers rayons de l'aube, passant à travers les persiennes des volets fermés, illuminaient d'un clair obscur l'intérieur de la chambre.
Ca et là, des formes se dessinaient, certaines étranges voire inquiétantes, d'autres classiques...simples éléments d'une simple chambre meublée.
Mais on pouvait discerner quelques éléments épars, des éléments qui donnaient à cette pièce un caractère sacré ou de passion...
A l'entrée de la chambre traînaient deux armes posées nonchalamment l'une contre l'autre, deux armes usées; Deux armes liées par leur lanière de cuir et fourreau enchevêtrés : Une masse et une épée.
L'histoire de ces deux armes renvoyaient à l'histoire de leurs possesseurs. Ils ne s'en séparaient jamais ...Sauf maintenant.
Plus loin, sur une chaise trônait une cotte de mailles, terne, abîmée par de multiples combats. Un oeil avisé aurait même pu y voir les retouches des anneaux meurtris lors de vieux affrontements. Mais nul oeil avisé n'aurait pénétré ce sanctuaire...privé.
Le plancher en bois, quant à lui, était recouvert de vêtements divers, éparpillés comme si une soudaine bourrasque de vent avait décidé de faire son propre rangement. On pouvait y voir multitudes de formes , mais surtout, on pouvait y voir mélangés des habits d'homme et de femme...
Au centre de la pièce se trouvait un lit; Un simple lit d'Auberge, confortable, pour le voyageur harassé, mais un lit ayant accueilli cette nuit deux corps et non un seul...

Un homme allongé sur le côté, observait le jour naissant. Les rainures des persiennes dessinaient des motifs sur le plafond et le visage de sa compagne.
Il la regardait, dormir doucement. Elle s'était assoupie il y a si peu de temps...
Il sourit. Elle paraissait si calme, si belle , éclairée par cette demi clarté.
Son esprit s'égara vers la nuit passé. Ils s'aimaient. La passion avait fait fuir toute trace de logique ou...de retenue. Et ils n'en avaient cure, cherchant le réconfort dans la présence de l'autre.
A chaque campagne, le même rituel recommençait. Ils ne pouvaient se séparer trop longtemps. Elle lui avait dit se sentir déchirée quand il était au loin. Il lui avait répliqué compter les jours avant son retour. Cette joute verbale se terminait toujours par des sourires puis des baisers. La joie des retrouvailles succédaient toujours au temps des séparations.
Il avait hâte d'officialiser cette union de coeur, de la sacraliser. Un mariage ?

D'un mouvement lent, il avança la main vers elle, écartant doucement une mèche de cheveux de devant ses yeux. Elle respirait lentement, les lèvres légèrement entrouvertes. Son regard détailla chaque traits de son visage : son ovale parfait, ses paupières cachant son regard de braise, ses petit nez adorable puis ses minces lèvres rosées. Il caressa du bout des doigts sa joue puis descendit vers son cou.
Elle portait son collier : Celui qu'il lui avait offert lors de sa dernière visite : une gemme qui palpitait comme animée d'une vie propre. Elle avait glissé dans le triangle formé par sa gorge.
En se dirigeant vers ce dernier - Une simple volonté de le toucher- , sa main s'attarda sur le haut de la couverture cachant la nudité de sa compagne. Il hésita, puis souriant, abaissa cette dernière révélant le haut de sa poitrine, puis cette dernière entièrement. Le galbe de ses seins réveilla en lui, un désir qu'il croyait assouvi.
Il effleura les contours de cette peau nacrée, sentant sous ses doigts, celle ci réagir, comme secouée de picotements. Ses caresses et glissades l'emmenèrent par des mouvements aussi aléatoires que variées vers le centre de cette vallée. Le premier contact fit frémir le corps en entier. Au second contact, il sentit ses seins se durcir. Elle se réveillait...
Cela l'amusait. Il écarta d'un mouvement preste le reste de la couverture révélant dans toute sa splendeur son corps de Déesse . La jeune femme ouvrit les yeux et le regardait. Il continua son exploration du bout des doigts, passant sur son ventre, provoquant des frissons, puis revenant vers son buste, sa gorge. Il aimait la sentir vibrer sous ses mains.
Il l'aimait tout court...
Puis ses caresses se firent plus rapides, ou plus lentes. Il osa braver les interdits allant jusqu'a effleurer les bords de son pubis. Elle avait refermé les yeux, oubliant le monde environnant et se laissant happer par les sensations envahissant son corps. Il continua son petit jeu de caresses ,jusqu'a que, de son propre chef, elle vienne l'embrasser, chercher sa bouche comme pour lui voler son air.
Elle voulait, tout comme lui, bien plus que de simples caresses. Et leurs volontés étaient tournées vers ce but ultime. Les deux corps roulèrent sur eux même, se mélangèrent. Les mains serraient les mains, les doigts entrelacés. Les bouches s'unirent dans une valse de baisers qui n'en finissait plus. Puis dans un dernier mouvement : Ils s'unirent.
Ils ne firent plus qu'un, rien n'aurait pu les séparer. Il avaient fusionné et telle une flamme immense, ondulaient sous la présence d'un grand brasier : Leur Amour.
Le Temps ne comptait plus, mais il restait leur seul maître. Tout comme la flamme s’éteignait faute de combustible, les deux amants s'affaissèrent épuisés. Seuls s'entendaient leur respiration rapide et les chants des oiseaux célebrant le matin.


Perdus dans le chaos de cette union, deux cellules se rencontrèrent, s'observèrent... Puis dans un grand élan décidèrent de fusionner renouvelant par là un cycle immémorial : La vie.

Merci pour la dédicasse
J'adooooooooooooooooooooooooooooooooooooooreeeeeeeeeeee
Mouahahhahhahaahha
C'est trop bôooooooooo


Bon bah j'attend la suite avec toujours autant d'impatience

Cela dépendra de mon inspiration du moment, le style utilisé dépendra de mon état d'âme.Les deux derniers textes ont étét écrit il y a un certain temps, mais je les aime bien . Autant en profiter.
Retour au bureau de poste ^^ ca va chauffer...

Je vous conseil de lire l'histoire d'Aelinea, l'elfe guerriére avec pour musique de fond Nelly Furtado " All Good things " j'en est encore des frissons ^^

Quel coups de plume Ael